Dés son plus jeune âge, tout le destinait à devenir chanteur et la première fois qu'il monte sur scène, il a tout juste cinq ans; c'est à l'occasion d'un mariage et les trois cents invités présents se lèvent pour l'ovationner !
Ce sera le déclic d'une passion qui le poursuivra tout au long de son enfance.
A seize ans, il part en Israël pour étudier à la Yeshiva et c'est là que cette passion va se réaliser.
Au début, il travaille comme technicien avec MENAHEM HERMANN et petit à petit celui-ci découvre en Némouel une âme d'artiste et lui propose de chanter en seconde voix ou en solo.
Par la suite, il lui propose d'animer entièrement des soirées et c'est ainsi que Nemouel devient autonome et commence à animer des Bar-Mitsvot, des fiançailles et des mariages.
Au fur et à mesure, il acquiert une maturité et son expérience professionnelle se renforce.
En 2004, MENAHEM HERMANN lui propose d'intervenir sur son album (ROKDIM) et les plus grands musiciens du répertoire 'Hassidique font appel à lui ( MENAHEM HERMANN, AVI PIAMENTA, MENDI JEROUFI, LEYBALLE LIPSKER...).
Il est également sollicité pour chanter dans des concerts : en 2004, à l'amphithéâtre de Netanya; en 2005 au Ganeï Taarou'ha à Tel-Aviv, et en 2006, on lui de demande de faire la première partie d'un concert de MORDEHAI BEN DAVID au Binyanei Haouma à Jérusalem en compagnie de YONI SHLOMO.
Aujourd'hui, sa carrière de chanteur dépasse les frontières d'Israël; des Etats-Unis à l'Europe en passant par la Russie.
Lors d'un passage à RADIO KOL-HAÏ (numéro 1 de la musique 'Hassidique en Israël), ROUVI BANET, arrangeur et compositeur entre autre d'AVRAHAM FRIED et de YAAKOV SHWEKEY, l'entend chanter et lui propose dés le lendemain de son passage à la radio de participer à la réalisation de son prochain disque (A wedding invitation).
Si on lui demande ce qu'il ressent aujourd'hui lorsqu'il monte sur scène pour animer un mariage ou un concert, il nous répond :
« A chaque fois l’émotion est la même. C’est comme si je montais pour la première fois, mon désire de me dépasser est constant. Je sais que lors d’une sim’ha, on peut facilement oublier le menu mais l’ambiance et la joie sont des sentiments qui peuvent se conserver pendant plusieurs années et c’est ce que je m’efforce de partager »